Topic Officiel GUERRE Russie-Géorgie
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Topic Officiel GUERRE Russie-Géorgie
bon le sujet brulant du moment se devait d avoir son topic
est ce que ca interesse au moins quelqu'un?? ou tout le monde s en fou, et mate les JO avec du pop corn dans la main gauche et un coca dans la main droite?...
bon pour ceux que ca interesse...:
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La Géorgie veut défendre sa capitale, TBILISSI
11/08/2008 19h17
est ce que ca interesse au moins quelqu'un?? ou tout le monde s en fou, et mate les JO avec du pop corn dans la main gauche et un coca dans la main droite?...
bon pour ceux que ca interesse...:
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La Géorgie veut défendre sa capitale, TBILISSI
11/08/2008 19h17
Un char géorgien est visé par des tirs de rocket russes près de Gori, le 11 août 2008
©AFP - Dimitar Dilkoff
TBILISSI (AFP) - La Géorgie a accusé lundi soir les troupes russes d'occuper la "majeure partie" de son territoire et l'armée géorgienne se préparait à défendre la capitale, Tbilissi, que la Russie a affirmé ne pas vouloir attaquer.
"La majeure partie du territoire de la Géorgie est occupée", a déclaré le président de la Géorgie Mikheïl Saakachvili dans une allocution télévisée.
La Russie "semble avoir l'intention de renverser le gouvernement", a estimé le secrétaire du Conseil de sécurité géorgien Alexandre Lomaïa.
"A cette heure, l'armée d'invasion de la Fédération de Russie est entrée sur le territoire géorgien (...). L'armée géorgienne se retire pour défendre la capitale", a proclamé lundi soir le gouvernement géorgien.
M. Saakachvili a cependant apppelé les habitants de Tbilissi à garder leur calme, assurant que la ville n'était pas immédiatement menacée par les forces russes.
Le ministère de la Défense à Moscou, cité par Interfax a indiqué que les forces russes n'avaient aucune intention de se diriger vers Tbilissi. Il a annoncé un peu plus tard que les forces russes s'étaient retirées de la ville géorgienne de Senaki (ouest) "le risque de tirs sur l'Ossétie du Sud depuis Senaki ayant disparu avec le départ de l'infanterie géorgienne".
Photo prise sur la chaîne de TV russe NTV montrant des soldats russes dans la ville de Tamarasheni, en Ossétie du sud, le 11 août 2008
©AFP/NTV - Ntv
La Russie a par ailleurs démenti que ses troupes occupent la ville de Gori, à 90 km de la capitale géorgienne, Tbilissi.
Alexandre Lomaïa avait auparavant annoncé que les forces russes occupaient Gori, ville natale de Joseph Staline, considérée comme un noeud stratégique entre l'est et l'ouest du pays.
Près de 80% des 50.000 habitants de Gori ont fui par peur des bombardements russes, selon un porte-parole du Haut commissariat aux réfugiés (HCR).
Selon un reporter norvégien sur place, des troupes russes ont aussi fait une incursion lundi dans la ville géorgienne de Zougdidi, proche de la république séparatiste géorgienne d'Abkhazie.
Une femme montre le portrait de Vasily Bazayev, un Ossète tué à Tskhinvali lors du conflit entre la Géorgie et l'Ossétie du sud, enterré à Nogir, le 11 août 2008
©AFP - Natalia Kolesnikova
Le président géorgien a lancé un appel à l'aide. "Tout ce que nous avons reçu de la communauté internationale est de l'aide humanitaire (...) et des déclarations. Nous avons besoin de bien plus", a-t-il déclaré.
Pendant ce temps, un ballet diplomatique se poursuivait pour pousser les deux camps à un arrêt des hostilités, avec des tentatives de médiation menées notamment par la présidence française de l'Union européenne.
Le représentant permanent de la Russie auprès de l'Otan, Dmitri Rogozine, a obtenu l'organisation mardi d'une réunion extraordinaire Otan/Russie, affirmant que le président géorgien "n'est plus un homme avec qui nous pouvons avoir affaire".
Le président russe Dmitri Medvedev s'est déclaré favorable au déploiement d'une mission de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) en Ossétie du Sud en raison de la "catastrophe humanitaire" après "l'agression géorgienne".
Le Conseil de sécurité de l'Onu devait à nouveau se réunir lundi, avec l'audition d'un haut responsable du maintien de la paix à l'ONU, selon un porte-parole des Nations unies.
Carte des combats en Géorgie
©AFP/Infographie
Les présidents de cinq pays de l'ancienne sphère soviétique, la Pologne, l'Ukraine et les trois Etats baltes, vont se rendre urgemment à Tbilissi pour soutenir la Géorgie, selon un cons²eiller du président polonais Lech Kaczynski.
La situation humanitaire en Ossétie du Sud et en Géorgie est "très grave", selon le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) qui a souligné "l'augmentation des pertes parmi les civils" et se prépare à envoyer 15 tonnes de médicaments et de matériel médical.
Le Premier ministre russe Vladimir Poutine s'en est pris avec virulence aux Etats-Unis, accusant Washington de "gêner" les opérations militaires russes en aidant au rapatriement des soldats géorgiens d'Irak. Il a dénonçé le "cynisme" américain et sa "capacité à présenter l'agresseur en victime de l'agression".
M. Poutine a comparé les autorités géorgiennes à l'ancien dictateur irakien Saddam Hussein.
Les tirs à l'arme lourde et automatique s'étaient poursuivis dans la nuit de dimanche à lundi à Tskhinvali. Un photographe de l'AFP a vu de nombreux immeubles endommagés et des blindés russes et géorgiens calcinés dans les rues.
Le chef d'etat major russe, le général russe Nikolai Makarov le 11 août 2008 à Moscou
©AFP - Vladimir Rodionov
Selon le commandement russe, les pertes en Ossétie du Sud s'élèvent à 18 soldats tués, 52 blessés et 4 avions abattus. Quatorze militaires sont portés disparus.
Au moins 18 avions militaires russes ont été abattus et "des centaines de soldats russes" tués dans les combats, selon Tbilissi.
Lundi, un avion de combat géorgien a été abattu près de Tskhinvali, selon les autorités ossètes.
Côté géorgien, l'aéroport international, la banlieue de Tbilissi ainsi que Poti, port sur la mer Noire près d'un terminal pétrolier, ont été bombardés par l'aviation russe dans la nuit, selon les autorités géorgiennes, certaines de ces attaques étant confirmées par des témoins.
L'aéroport de Tbilissi continuait lundi de fonctionner normalement, même si les radars "ont été légèrement endommagés", selon le ministère de l'Intérieur.
Le ministre français des Affaires étrangères Bernard Kouchner, le 11 août 2008 à Gori
©AFP - Dimitar Dilkoff
La Russie a déployé 9.000 soldats supplémentaires en Abkhazie, qui s'ajoutent aux 2.500 soldats de maintien de la paix déjà présents, selon un responsable du commandement russe.
Selon le chef de la diplomatie française Bernard Kouchner, le président géorgien a "accepté à peu près toutes les propositions" de l'Union européenne, dont la France assure actuellement la présidence, et de l'OSCE pour arrêter le conflit.
M. Saakachvili a signé un document contenant des "propositions de paix" soutenu par l'UE qui sera transmis à la Russie, a annoncé Alexandre Lomaïa.
Mais le premier vice-Premier ministre russe Sergueï Ivanov a écarté les propositions de l'UE pour un cessez-le-feu, estimant qu'il fallait un "engagement écrit signé d'un côté par la Géorgie et de l'autre par l'Ossétie du Sud et l'Abkhazie, de ne plus jamais recourir à la force à l'avenir".
Le président français Nicolas Sarkozy est attendu mardi à Moscou pour "tenter de finaliser" un accord de cessez-le-feu. Il se rendra également en Géorgie, a affirmé le président géorgien.
M. Kouchner s'est rendu lundi soir dans un camp de réfugiés ayant fui les combat sen Ossétie du Sud à Vladikavkaz (su-ouest de la Russie) avant de partir pour Moscou.
Les ministres des Affaires étrangères du G7 (principaux pays industrialisés) ont exhorté Moscou à "accepter un cessez-le-feu immédiat". La Commission européenne a demandé l'arrêt "immédiat" des opérations russes en Géorgie.
Le Fonds monétaire international s'est déclaré lundi "très inquiet des événements récents en Géorgie", en conflit avec la Russie, déplorant dans un communiqué les vies perdues et les dégâts économiques "pour un pays qui a travaillé dur ces dernières années".
©AFP - Dimitar Dilkoff
TBILISSI (AFP) - La Géorgie a accusé lundi soir les troupes russes d'occuper la "majeure partie" de son territoire et l'armée géorgienne se préparait à défendre la capitale, Tbilissi, que la Russie a affirmé ne pas vouloir attaquer.
"La majeure partie du territoire de la Géorgie est occupée", a déclaré le président de la Géorgie Mikheïl Saakachvili dans une allocution télévisée.
La Russie "semble avoir l'intention de renverser le gouvernement", a estimé le secrétaire du Conseil de sécurité géorgien Alexandre Lomaïa.
"A cette heure, l'armée d'invasion de la Fédération de Russie est entrée sur le territoire géorgien (...). L'armée géorgienne se retire pour défendre la capitale", a proclamé lundi soir le gouvernement géorgien.
M. Saakachvili a cependant apppelé les habitants de Tbilissi à garder leur calme, assurant que la ville n'était pas immédiatement menacée par les forces russes.
Le ministère de la Défense à Moscou, cité par Interfax a indiqué que les forces russes n'avaient aucune intention de se diriger vers Tbilissi. Il a annoncé un peu plus tard que les forces russes s'étaient retirées de la ville géorgienne de Senaki (ouest) "le risque de tirs sur l'Ossétie du Sud depuis Senaki ayant disparu avec le départ de l'infanterie géorgienne".
Photo prise sur la chaîne de TV russe NTV montrant des soldats russes dans la ville de Tamarasheni, en Ossétie du sud, le 11 août 2008
©AFP/NTV - Ntv
La Russie a par ailleurs démenti que ses troupes occupent la ville de Gori, à 90 km de la capitale géorgienne, Tbilissi.
Alexandre Lomaïa avait auparavant annoncé que les forces russes occupaient Gori, ville natale de Joseph Staline, considérée comme un noeud stratégique entre l'est et l'ouest du pays.
Près de 80% des 50.000 habitants de Gori ont fui par peur des bombardements russes, selon un porte-parole du Haut commissariat aux réfugiés (HCR).
Selon un reporter norvégien sur place, des troupes russes ont aussi fait une incursion lundi dans la ville géorgienne de Zougdidi, proche de la république séparatiste géorgienne d'Abkhazie.
Une femme montre le portrait de Vasily Bazayev, un Ossète tué à Tskhinvali lors du conflit entre la Géorgie et l'Ossétie du sud, enterré à Nogir, le 11 août 2008
©AFP - Natalia Kolesnikova
Le président géorgien a lancé un appel à l'aide. "Tout ce que nous avons reçu de la communauté internationale est de l'aide humanitaire (...) et des déclarations. Nous avons besoin de bien plus", a-t-il déclaré.
Pendant ce temps, un ballet diplomatique se poursuivait pour pousser les deux camps à un arrêt des hostilités, avec des tentatives de médiation menées notamment par la présidence française de l'Union européenne.
Le représentant permanent de la Russie auprès de l'Otan, Dmitri Rogozine, a obtenu l'organisation mardi d'une réunion extraordinaire Otan/Russie, affirmant que le président géorgien "n'est plus un homme avec qui nous pouvons avoir affaire".
Le président russe Dmitri Medvedev s'est déclaré favorable au déploiement d'une mission de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) en Ossétie du Sud en raison de la "catastrophe humanitaire" après "l'agression géorgienne".
Le Conseil de sécurité de l'Onu devait à nouveau se réunir lundi, avec l'audition d'un haut responsable du maintien de la paix à l'ONU, selon un porte-parole des Nations unies.
Carte des combats en Géorgie
©AFP/Infographie
Les présidents de cinq pays de l'ancienne sphère soviétique, la Pologne, l'Ukraine et les trois Etats baltes, vont se rendre urgemment à Tbilissi pour soutenir la Géorgie, selon un cons²eiller du président polonais Lech Kaczynski.
La situation humanitaire en Ossétie du Sud et en Géorgie est "très grave", selon le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) qui a souligné "l'augmentation des pertes parmi les civils" et se prépare à envoyer 15 tonnes de médicaments et de matériel médical.
Le Premier ministre russe Vladimir Poutine s'en est pris avec virulence aux Etats-Unis, accusant Washington de "gêner" les opérations militaires russes en aidant au rapatriement des soldats géorgiens d'Irak. Il a dénonçé le "cynisme" américain et sa "capacité à présenter l'agresseur en victime de l'agression".
M. Poutine a comparé les autorités géorgiennes à l'ancien dictateur irakien Saddam Hussein.
Les tirs à l'arme lourde et automatique s'étaient poursuivis dans la nuit de dimanche à lundi à Tskhinvali. Un photographe de l'AFP a vu de nombreux immeubles endommagés et des blindés russes et géorgiens calcinés dans les rues.
Le chef d'etat major russe, le général russe Nikolai Makarov le 11 août 2008 à Moscou
©AFP - Vladimir Rodionov
Selon le commandement russe, les pertes en Ossétie du Sud s'élèvent à 18 soldats tués, 52 blessés et 4 avions abattus. Quatorze militaires sont portés disparus.
Au moins 18 avions militaires russes ont été abattus et "des centaines de soldats russes" tués dans les combats, selon Tbilissi.
Lundi, un avion de combat géorgien a été abattu près de Tskhinvali, selon les autorités ossètes.
Côté géorgien, l'aéroport international, la banlieue de Tbilissi ainsi que Poti, port sur la mer Noire près d'un terminal pétrolier, ont été bombardés par l'aviation russe dans la nuit, selon les autorités géorgiennes, certaines de ces attaques étant confirmées par des témoins.
L'aéroport de Tbilissi continuait lundi de fonctionner normalement, même si les radars "ont été légèrement endommagés", selon le ministère de l'Intérieur.
Le ministre français des Affaires étrangères Bernard Kouchner, le 11 août 2008 à Gori
©AFP - Dimitar Dilkoff
La Russie a déployé 9.000 soldats supplémentaires en Abkhazie, qui s'ajoutent aux 2.500 soldats de maintien de la paix déjà présents, selon un responsable du commandement russe.
Selon le chef de la diplomatie française Bernard Kouchner, le président géorgien a "accepté à peu près toutes les propositions" de l'Union européenne, dont la France assure actuellement la présidence, et de l'OSCE pour arrêter le conflit.
M. Saakachvili a signé un document contenant des "propositions de paix" soutenu par l'UE qui sera transmis à la Russie, a annoncé Alexandre Lomaïa.
Mais le premier vice-Premier ministre russe Sergueï Ivanov a écarté les propositions de l'UE pour un cessez-le-feu, estimant qu'il fallait un "engagement écrit signé d'un côté par la Géorgie et de l'autre par l'Ossétie du Sud et l'Abkhazie, de ne plus jamais recourir à la force à l'avenir".
Le président français Nicolas Sarkozy est attendu mardi à Moscou pour "tenter de finaliser" un accord de cessez-le-feu. Il se rendra également en Géorgie, a affirmé le président géorgien.
M. Kouchner s'est rendu lundi soir dans un camp de réfugiés ayant fui les combat sen Ossétie du Sud à Vladikavkaz (su-ouest de la Russie) avant de partir pour Moscou.
Les ministres des Affaires étrangères du G7 (principaux pays industrialisés) ont exhorté Moscou à "accepter un cessez-le-feu immédiat". La Commission européenne a demandé l'arrêt "immédiat" des opérations russes en Géorgie.
Le Fonds monétaire international s'est déclaré lundi "très inquiet des événements récents en Géorgie", en conflit avec la Russie, déplorant dans un communiqué les vies perdues et les dégâts économiques "pour un pays qui a travaillé dur ces dernières années".
JulienDeLorraine- Admin
- Messages : 1328
Date d'inscription : 15/04/2008
Localisation : France;Lorraine;Moselle
Re: Topic Officiel GUERRE Russie-Géorgie
moi je pense qu'ils font sa juste pour pas s'enuyer, histoire de sortir de la routine^^
Re: Topic Officiel GUERRE Russie-Géorgie
ah oui maintenant que tu le dis, j y avais pas pensé.. t'es con lol ^^moi je pense qu'ils font sa juste pour pas s'enuyer, histoire de sortir de la routine^^
JulienDeLorraine- Admin
- Messages : 1328
Date d'inscription : 15/04/2008
Localisation : France;Lorraine;Moselle
Re: Topic Officiel GUERRE Russie-Géorgie
j'adore lorsque tu participes aux discutions. c'est tjrs aussi enrichissant lol
JulienDeLorraine- Admin
- Messages : 1328
Date d'inscription : 15/04/2008
Localisation : France;Lorraine;Moselle
Re: Topic Officiel GUERRE Russie-Géorgie
j'ai toujours le mot qu'il faut :-D c'est ce qu'on appel la perfection
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